Sur l’eau ne sont que formes floues
Que le vent efface à son gré
En moi ne sont que rêves fous
Et la grimace des regrets
Et de quoi sont tous ces reflets
Sinon d’un monde net et pur
A l’évoquer mon cœur se plaît
Orphelin d’éternel azur
Mais seul en reste le miroir
De ce qui fut beau sur la terre
Seules ombres se laissent voir
Sillons transpercés de lumière...
Ce poème est extrait du tome I de ma collection de photographies et poèmes Éternels instants, éditée chez BoD. Il est disponible en deux formats, papier et numérique (e-book).Vous pouvez en feuilleter le début en cliquant sur : Lire un extrait. Vous pouvez aussi l'acheter sur le site de l'éditeur, et voir les autres tomes de la collection, en cliquant sur : Vers la librairie BoD.