La moindre chose s’embellit
Pour peu que le soleil s’y pose,
Et s’auréole d’infini
Pour une infime apothéose.
Tout pourra s’y apercevoir
En immense métamorphose :
On ne voit que ce qu’on veut voir,
Tant de mondes en moindre chose...
***
Ce poème et cette photo font partie de mon livre Petite âme vagabonde, édité chez Bod en deux versions, papier et électronique (e-book). Pour en feuilleter le début, cliquer ci-dessous sur Lire un extrait. Pour l'acheter sur le site de l'éditeur, cliquer sur Vers la librairie BoD :
Les poèmes qui suivent, illustrés de photographies, font écho à différentes couleurs ou saisons de l'âme. Ils sont fort divers, correspondant à telle ou telle humeur ou atmosphère du moment. Cependant une vision générale peut s'y voir : celle d'un monde maintenant rompu et éparpillé, mais auquel chaque éclat fugitif nous donne l'envie de revenir, proprement la nostalgie. On trouvera là des similitudes avec l'esprit gnostique.
Les poèmes qui suivent, illustrés de photographies, font écho à différentes couleurs ou saisons de l'âme. Ils sont fort divers, correspondant à telle ou telle humeur ou atmosphère du moment. Cependant une vision générale peut s'y voir : celle d'un monde maintenant rompu et éparpillé, mais auquel chaque éclat fugitif nous donne l'envie de revenir, proprement la nostalgie. On trouvera là des similitudes avec l'esprit gnostique.